Jean-Baptiste Erzen a choisi de présenter et de faire dialoguer deux expressions qu’il explore et questionne avec force : la peinture à l’huile pour l’abstraction et le fusain pour la figuration.
Les paysages abstraits sont oniriques, intériorisés, traversés d’une dimension spirituelle et cosmique. Couleurs vibrantes et douces comme s’il interrogeait une naissance des formes.
Visages non réalistes mais d’une réelle présence étrange et «interrogeante» ; visages semblant venir de monde antique et primitif mais animés par le mouvement intérieur, le regard et le trait de l’artiste Erzen. Approche de soi, de l’autre, à la fois proches et lointains.
La Dépêche
Publié le 24/04/2014